Archives du mot-clé municipales 2014

Dimanche, dès le premier tour : 5 bonnes raisons de voter Benjamin MATHEAUD

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Dimanche, dès le premier tour : 5 bonnes raisons de voter Benjamin MATHEAUD

1. Un homme travailleur et compétent, présent au quotidien sur le terrain pour écouter les Alésiens.

2. Un citoyen qui a eu le courage de dénoncer clairement le système du maire sortant : un fonctionnement clanique au bénéfice d’une minorité d’Alésiens.

3. Le seul élu qui peut rompre avec l’isolement d’Alès en tissant des partenariats départementaux et régionaux efficaces pour le développement économique de notre ville et de son agglomération.

4. Un candidat crédible qui porte des projets pour Alès et des solutions concrètes pour protéger la qualité de vie des Alésiens.

5. Un futur maire déterminé à conduire avec son équipe une gestion transparente, exemplaire et juste de la municipalité.

Un nouveau souffle pour Alès :

- Téléchargez le projet

- Le trombinoscope de l’équipe

- La profession de foi

 

Discours du meeting du 17 mars

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Téléchargez le discours prononcé par Benjamin Mathéaud lors du meeting du Lundi 17 mars 2014 à l’Espace Alès Cazot

 

Débat du premier tour des municipales d’Alès sur France 3

Samedi 15 mars, France 3 Languedoc Roussillon a diffusé le débat du premier tour des municipales d’Alès.

Une fois de plus, après le débat organisé par France Bleu, le maire UMP sortant Max Roustan a refusé le débat. C’est une forme de mépris des Alésiennes et des Alésiens que de refuser de confronter son projet avec celui des autres, derrière la bonhommie de façade, il y a une conception autoritaire et solitaire du pouvoir.

Débat des municipales 2014 Alès – 1er tour… par partisocialisteales

Charte déontologique de l’élu au conseil municipal d’Alès

Parce qu’il faut impulser un nouveau souffle pour Alès et qu’il est impératif de s’inscrire dans une action de moralisation de la vie publique locale, Benjamin Mathéaud a décidé de mettre en place un certain nombre de règles de comportement et de fonctionnement de la future équipe municipale.

Nous sommes la seule liste à avoir pris publiquement des engagements de transparence pour assainir la vie publique locale Alésienne.

Ce document a été signé par l’ensemble des colistiers qui se sont engagés dans la liste « Benjamin Mathéaud, Un nouveau souffle pour Alès ». Élu maire d’Alès Benjamin Mathéaud appliquera et fera respecter cette charte à la lettre car il en va des rapports entre l’élu et le citoyen.

C’est un engagement à combattre des dérives passées, c’est un engagement clair pour l’avenir, de transparence, de clarté et de devoir vis-a-vis de toutes les Alésiennes et de tous les Alésiens.

Cette charte sera votée par le conseil municipal d’Alès et annexée au règlement intérieur.

Télécharger la Charte déontologique en cliquant ici  

Lire la Charte déontologique ci-dessous

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Alain Mammoser, adjoint au maire d’Alès à la culture 1995-2001 rejoint l’équipe de Benjamin Mathéaud

 

L’interview d’Alain Mammoser, parue dans le Midi Libre Alès du 21 février 2014.

Alain Mammoser : « Un choix assez logique »

Entretien : L’ancien adjoint à la culture de Max Roustan sera sur la liste PS aux municipales

Alain Mammoser veut défendre une idée de la culture, ouverte à tous. Photo JB / Midi Libre

Alain Mammoser veut défendre une idée de la culture, ouverte à tous. Photo JB / Midi Libre

Vous avez été élu entre 1995 et 2001 aux côtés de Max Roustan, maire UMP.
Vous venez d’annoncer votre engagement sur la liste PS de Benjamin Mathéaud. Comment expliquez-vous cela ?
Je suis arrivé sur Alès en 1982, parce qu’avec ma compagne nous avons eu le coup de foudre pour cette région. En tant que pianiste, j’avais toujours été un peu gêné par le côté snob et fermé du milieu de la musique classique, qui n’était pas du tout accessible au plus grand nombre. Très vite, l’idée de dépoussiérer tout ça a été mon leitmotiv. J’ai tenté d’amener la musique classique dans les villages, en mettant un piano sur un camion et en me déplaçant partout, et en prenant toutes les initiatives possibles pour faire bouger le
schéma. Tout ceci pour dire que quand Max Roustan m’a proposé l’aventure municipale en 1995, je me suis dit que j’avais une chance folle : j’allais pouvoir mettre en application mon idéal de culture pour tous.

 
Pourquoi ne pas avoir continué après 2001 ?
Je ne peux pas dire qu’on a été en désaccord avec le maire, mais il voulait ouvrir sa liste à des nouveaux, j’ai laissé la place. Finalement, avec le recul, même si je ne me définissais pas du tout alors comme un homme de gauche, je me souviens que les gens de droite me disaient “toi et tes idées de gauchiste, t’es bien un artiste !”. Les autres voyaient peut-être mieux que moi ce que j’étais déjà ! Alors finalement, cet engagement avec Benjamin Mathéaud arrive peut-être tard, mais c’est assez logique.

 

Comment connaissez-vous Benjamin Mathéaud ?
Nous n’avons fait connaissance qu’il y a quelques mois, mais je le “suivais” comme spectateur si j’ose dire, et je voyais qu’il était très pugnace. Je me suis toujours dit ce garçon a l’esprit de décision, il est jeune, il arrivera à quelque chose. Ce qui fait que lorsqu’il m’a interpellé pour être sur sa liste, je me suis engagé avec plaisir.

 

S’il est élu, quelle place occuperez-vous sur la liste ?
On n’en est pas encore là, mais il est certain que la culture m’intéresse plus que de m’occuper des pompiers ou de quelque chose que je ne connais pas. Quand j’étais élu, j’ai initié le concert de l’Épiphanie qui est encore un succès, ou la manifestation Art’Alès, qui mêlait musique classique et peinture. Mais j’ai encore beaucoup d’idées !

Recueilli par ÉDITH LEFRANC

Une priorité, donner un nouveau souffle économique à Alès

Ecoutez les interviews de Benjamin Mathéaud sur Radio Totem (journaux de la matinale du 18 février 2014).

Interview sur les Etats généraux de l’Industrie

Interview sur le développement économique

L’Economie Sociale et Solidaire : un pilier pour le développement économique et social d’Alès et de son agglomération.

La situation d’Alès est préoccupante du point de vue économique : 18 % de chômage,  un nombre de personnes au RSA plus élevé que la moyenne.

Dans ce cadre, soutenir  l’Economie Sociale et Solidaire c’est soutenir un développement, local, social et économique.

Benjamin Mathéaud a organisé mardi 18 février 2014 une table ronde avec les acteurs de l’ESS du bassin d’Alès, en présence de Marie Meunier-Polge, conseillère régionale déléguée à l’ESS et Eric Wendels, président d’un groupement d’employeurs de l’insertion par l’activité économique. (voir l’article d’Objectif Gard à la fin de ce billet).

Photo DR/EB - Objectif Gard

Photo DR/EB – Objectif Gard

L’ESS c’est quoi ?

-          3 familles : associations, coopératives, mutuelles

-          Des principes : non lucrativité totale ou partielle ; un homme, une voix ; solidarité

Ce sont surtout des emplois non localisables et une capacité plus grande à créer des emplois grâce au principe de non lucrativité.

Sur Alès comme sur la région, la place de l’ESS est importante : l’ESS représente 8 %du PIB de la zone et 10% des salariés (source CRES/Univ. Montpellier 1,2005) dont 87% dans les associations de notre territoire.

Quelle est la politique de l’ESS aujourd’hui sur Alès et son agglomération ?

La politique est quasiment inexistante. Le terme ESS apparaît pour la première fois dans le projet de territoire 19 ans après, il était temps. Les acteurs de l’ESS ont du se débrouiller tout seuls sans aide et sans vision de la part de la collectivité.

Pourtant, les valeurs et les pratiques de l’économie sociale et solidaire sont particulièrement adaptées aux valeurs cévènoles de travail, d’abnégation et de solidarité. Ici en Cévennes, le partage et la participation

Notre souhait : soutenir les acteurs de l’ESS pour le développement du territoire.

Les acteurs de l’ESS sur le territoire de l’agglomération ont besoin d’un accompagnement et d’un cadre constructif d’échanges pour se développer.

Nos engagements :

Au sein de notre équipe un(e) élu(e) sera chargé spécifiquement de l’Economie Sociale et Solidaire.

Créer un écosystème favorable à l’ESS. Il s’agit de respecter la diversité des entreprises de l’ESS en leur offrant :

- Une politique de convention pluriannuelle aux associations ayant des projets structurants et innovants en concertation avec les soutiens du conseil régional et du conseil général.

- Un lieu d’accompagnement et de ressources pour permettre le développement des projets inscrit dans le réseau Réalis – réseau de soutien à l’économie sociale et solidaire régional.

Favoriser l’ESS dans le cadre des politiques d’Alès et de son agglomération :

- Inciter les organismes de l’ESS à répondre aux besoins non satisfaits du territoire en privilégiant les solutions innovantes

- généraliser les clauses sociales et  l’alotissement dans les appels d’offres pour permettre aux organismes de l’ESS de jouer pleinement leur rôle dans l’insertion des publics les plus éloignées de l’emploi.

Ainsi, l’ESS pourra pleinement donner sa mesure en matière de création d’emplois mais également de promotion d’une gouvernance plus participative et qui intègre les préoccupations sociales et environnementales dans l’économie.

Avec l’ESS, on le sait, ce n’est pas l’homme qui est au service de l’économie mais bien l’économie qui est au service de l’homme. C’est ce que nous voulons faire sur Alès.

Donner un nouveau souffle sur Alès, c’est donner plus de place à l’Economie Sociale et Solidaire, c’est lui donner toute sa place !

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Article paru sur Objectif Gard

ALÈS Favoriser le développement de l’économie sociale et solidaire

19 février 2014  |   Classé dans: Actualité générale,Economie  |   Publié par: 

Benjamin Mathéaud a rassemblé hier soir à Alès les acteurs de l'économie sociale et solidaire. Photo DR/EB

Benjamin Mathéaud a rassemblé hier soir à Alès les acteurs de l’économie sociale et solidaire. Photo DR/EB

Hier soir, l’économie sociale et solidaire faisait l’objet d’une rencontre organisée par Benjamin Mathéaud dans les locaux de la coopérative d’activité et d’emploi “Mines de talents”, à Alès. Pour l’occasion, le candidat socialiste à la mairie d’Alès avait invité Marie Meunier Polge, conseillère régionale déléguée à l’économie sociale et solidaire, et Eric Wendels, président du groupement d’employeurs de l’insertion par l’activité économique.

Différents acteurs de ce type de structures, entrepreneurs salariés et citoyens étaient présents pour “voir comment ces derniers peuvent être des piliers dans le cadre du développement économique et social d’Alès et de son agglomération” commente Benjamin Mathéaud. Pour Marie Meunier Polge, l’économie sociale et solidaire n’est pas “qu’une économie de réparation, elle est aussi là pour proposer de vrais emplois”. Et d’ajouter :“Les entreprises d’insertion sont là pour remettre sur les rails des hommes et des femmes qui ont besoin de trouver du lien social”. La conseillère régionale a ensuite brièvement présenté les réalisations sur le territoire du Languedoc-Roussillon, avec notamment la mise en place d’une chaîne de l’innovation sociale dédiée aux projets issus de l’économie sociale et solidaire, comprenant – entre autres – une école de entrepreneuriat, un incubateur d’entreprises pour soutenir les créations innovantes et une convention d’entreprise favorisant les relations commerciales.

L’enjeu, pour Benjamin Mathéaud “est de faire en sorte que cette économie prenne toute sa place en créant un écosystème favorable respectant la diversité des acteurs”. Le débat s’est poursuivi pour tenter de trouver des pistes de réflexion permettant l’insertion de l’économie sociale et solidaire dans le cadre des politiques mises en œuvre par la ville et l’agglomération d’Alès.

Suspicions et cas avérés de dopage à l’Alès Cévennes Athlétisme : En sport comme ailleurs, la fin ne peut pas justifier les moyens

Communiqué de presse :

Vendredi 14 février le journal Le Monde a publié une enquête approfondie sur des affaires de suspicions de dopage, qui viennent s’ajouter à des cas avérés de dopage qui concernent plusieurs athlètes de l’Alès Cévennes Athlétisme contrôlés positivement pour usage d’EPO et d’autres produits dopants ces dernières années.

Ces graves faits viennent entacher l’image du club et à travers lui l’image de notre ville.
Il semble que ces affaires de dopage soient le résultat de la politique menée par l’équipe dirigeante de l’ACA, visiblement peu regardante quand au recrutement des athlètes de l’équipe première et au suivi de ceux-ci, dont aucun ne s’entraîne à Alès.

L’objectif louable de viser l’excellence en matière de résultats sportifs ne peut se faire au détriment du respect élémentaire des règles en matière de dopage. En sport comme ailleurs la fin ne peut pas justifier les moyens.

Candidat à l’élection municipale d’Alès je prends ici l’engagement de demander dès le lendemain de mon élection un audit complet  de la gestion de l’ACA, club qui reçoit une subvention publique de la ville de plus de 130 000 € par an. Dans le contrat d’objectif signé entre la ville d’Alès et l’ACA je demanderai que figure la mise en place de procédures pour sécuriser le recrutement et le suivi des athlètes de haut niveau afin que ces cas de dopage ne puissent se reproduire.

J’invite l’ensemble des candidats à prendre comme moi ces engagements de transparence et d’éthique sportive.
J’espère que la présence de la présidente de l’ACA sur la liste du maire sortant ne le conduira pas à se murer dans le silence sur ce sujet comme il le fait trop souvent sur d’autres.

Benjamin Mathéaud
Conseiller municipal d’Alès
Candidat à l’élection municipale d’Alès
Tête de liste « Un nouveau pour Alès – Liste de rassemblement de la gauche – Parti socialiste – Europe Écologie Les Verts – Société civile »

 

L’article paru dans Le Monde du 14 février 2014 :

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Alès : Benjamin Mathéaud, un candidat déterminé

Midi Libre Alès a publié un série de portraits des candidats à l’élection municipale d’Alès.

Le portrait de Benjamin Mathéaud :

Alès : Benjamin Mathéaud, le candidat pressé

Benjamin Mathéaud a choisi de se faire photographier à l’école Veigalier, celle de sa jeunesse. (Photo ALEXIS BETHUNE)

Benjamin Mathéaud a choisi de se faire photographier à l’école Veigalier, celle de sa jeunesse. (Photo ALEXIS BETHUNE)

Ses détracteurs le décrivent en apparatchik du PS. Ses supporters intelligent et pragmatique. Portrait d’un jeune politique au sang froid qui se présente aux municipales.

Depuis quand pensez-vous à la mairie d’Alès ? » « Depuis que je suis en âge de me raser. » Assis au Milk-bar, le café voisin de sa permanence avenue de Gaulle, Benjamin Mathéaud rigole.

La référence au petit homme ambitieux qui voulait être président (et l’est devenu !) est bien sûr une boutade. Nicolas Sarkozy et Benjamin Mathéaud ne sont pas du même bord politique et ne jouent pas dans la même division.

Mais le parallèle, toutes proportions gardées, est bien choisi. Benjamin Mathéaud, 38 ans, est un homme pressé qui, depuis longtemps, travaille à un objectif bien précis : devenir maire d’Alès, ville où il est né.

Une pétition contre Ceausescu

Fils unique d’un psychologue scolaire et d’une orthophoniste, il évolue dans une famille de gauche. « A table, la politique n’était pas un tabou », sourit-il.

Il a 5 ans quand Mitterrand entre à l’Elysée – « Je me souviens des cris de joie » – et 14 quand, avec ses parents, il fait signer une pétition pour le départ de Ceausescu sur le parking de Cora. « J’avais une correspondante roumaine, c’était mon premier acte de militantisme. »

Benjamin Mathéaud Scout chez les Eclaireurs unionistes de France – « les plus ouverts, une belle école de la vie » – amateur de BD, Benjamin Mathéaud passe sa scolarité à Alès, entre l’école Veigalier, le collège Jean-Moulin, le lycée JBD. Sa carrière se profile quand il part en fac de droit à Montpellier. Il se syndique à l’Unef et prend sa carte au PS.

« J’étais dans l’atelier de campagne de Jospin le soir du coup de tonnerre »

Pragmatique, il commence à tisser sa toile, fréquente les futurs barons du PS régional, comme Michaël Delafosse, et se rapproche des valeurs montantes parisiennes.

Après une parenthèse d’un an à Nîmes, il décroche un poste d’assistant parlementaire puis de chargé de mission auprès du député-maire du 10e arrondissement de Paris, Tony Dreyfus.

Il croise Benoît Hamont, Najat Belkacem, et s’implique dans la campagne présidentielle de Jospin en 2002. « J’étais dans son atelier de campagne le soir du coup de tonnerre (Le Pen qualifié au second tour, NDLR) ».

Première candidature

En 2004, le patron du conseil général gardois, Damien Alary, le rappelle au pays. Il lui propose de se présenter à une élection cantonale à Alès. Le canton est détenu par les communistes depuis 1967.

Mathéaud perd face à Suau (21 % au premier tour). Il retourne au Palais Bourbon comme assistant parlementaire du député William Dumas, puis se fixe à Alès en 2007.

Manger sur le pouce aux Halles

Là, avec sa femme Vanessa Bozec, une Bretonne rencontrée à Paris, il fonde une web-entreprise de soins cosmétiques. Elle met à profit ses talents de pharmacienne, lui gère les fournisseurs et le marketing. Le couple vit faubourg d’Auvergne.

Le samedi, Benjamin mange sur le pouce avec ses amis, aux Halles. Le dimanche, il aime chercher des champignons avec Vanessa, présidente de la société mycologique.

A l’attaque de l’appareil

Fort de son implantation et de ses réseaux, Mathéaud s’attaque alors à l’appareil socialiste. Il en devient vite le numéro 2 gardois. Après avoir soutenu Fabien Gabillon aux municipales de 2008, il décide de se présenter en 2014.

Les mois précédant les primaires socialistes à Alès sont marqués par une inflation de cartes d’adhérents dans sa section. Gabillon, candidat aux primaires, gronde puis se retire.

Mathéaud est critiqué. Mais lui tient bon. En octobre, il remporte les primaires face à Eric Muret sur un score sans appel (90 %), malgré une abstention conséquente.

Dans le vent

Entouré de jeunes geeks dans le vent, il veut incarner le renouveau. Il se donne l’image d’homme sérieux tant dans l’apparence (tenue soignée, coiffure disciplinée) que dans le discours.

Il n’hésite pas à poursuivre en justice le maire pour une blague qu’il juge injurieuse et réclame plus de transparence. En mars, il jouera gros.

Comme tous ceux qui ont mis beaucoup d’énergie dans un objectif précis. En politique, l’élection est d’abord une affaire d’ambition.

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